Notre analyse 'humaine' et celle de l'IA sont issues de grandes banques et sociétés de gestion. LISTE DETAILLEE ICI.
Les années ne se ressemblent pas. 2025 sera atypique avec D. Trump. Le challenge sera la baisse des taux et la croissance.
Ci-dessous un graphique, si on devait n'en retenir qu'un seul (l'an passé, ce fut sur la baisse des taux).
Les grandes tendances pour 2025 :
COMMENTAIRES FINADOC
- Les anticipations de baisse de taux courts seront plus incertaines aux USA par d'éventuelles poussées inflationnistes avec les droits de douane et le protectionnisme qui se renforcera. En Europe,le contexte est différent : la croissance est faible et la BCE pourrait encore baisser les taux (mais hésite sur des possibles résurgences d'inflation par l'impact de la hausse du dollar). Les taux longs baisseront plus lentement.
- La nouvelle ère Trump reste à ce stade incertaine compte tenu du personnage. L'Europe reste au milieu des USA et de l'Asie et s'en sortira mieux économiquement, avec une politique plus pragmatique (à construire).
- Sauf conflit, fin des pressions inflationnistes (hors USA) dans le cycle économique actuel.
- Diminution de la dette publique en zone euro (excepté en France), même si la situation budgétaire n'est pas simple (et une hausse aux USA qui fait sa croissance sur la dette).
- Endettement plus faible des ménages (grande tendance depuis 2010 env.)... qui ont, au moins en Europe et en Chine, encore un gros matelas d'épargne.
- Report massif des investissements vers le secteur IT, tiré en avant par le cloud et l'IA.
- Le chômage reste faible aux USA, et une hausse modérée à prévoir en Europe.
- L'immobilier pourrait reprendre quelques couleurs en 2025, sans grand bond en avant. La réduction en France du télé-travail sera peut-être un facteur positif ainsi que la baisse des taux et une crise qui semble se stabiliser.
- La confiance restera un point d'attention car elle conditionne la consommation des ménages et entreprises.
- La Chine assainit ses finances publiques en matière immobilière et se garde des ressources financières pour contrer une hausse des droits de douane (initiée par Trump et largement renforcée par Biden).
- La croissance des bénéfices se situe en Asie au sens large, ensuite les USA, puis loin derrière l'Europe.
- Repli protectionniste dans de nombreux pays et incertitudes sur le commerce mondial et les rapports de force entre pays (cela a toujours existé, mais Trump est une variable compliquée).
- Changements structurels importants : environnement, décarbonation, IA, logiciels/cybersécurité, énergie, vieillissement de la population.
- Niveau de confiance (avis personnel) sur 12/15 mois : vert clair (pas orange clair ou vert foncé) sur les USA, orange clair sur les autres zones pays, sans tenir des conflits et de la géopolitique compliquée (vers une année de fin de conflits ?).
COMMENTAIRES GENERES PAR L'IA
Nous avons soumis à ChatGPT 18 documents en 01 2025 (JP Morgan, Pictet, Amundi...), avec une méthodologie structurée, et en demandant le degré de confiance dans les allocations d'actifs. Objectifs : fiabiliser la lecture profonde des commentaires (français et anglais) et des graphiques.
Par classe d'actifs, degré d'investissement (sur une échelle de 1 à 10) :
L’année 2025 s’annonce marquée par une divergence de croissance entre les grandes économies. Les États-Unis maintiennent une dynamique robuste portée par l’innovation et une politique budgétaire expansionniste, bien que les tensions commerciales et les taux d’intérêt élevés puissent ralentir certaines industries. L’Europe peine à retrouver un élan de croissance, impactée par l’incertitude politique et un climat économique plus fragile. La Chine et les marchés émergents subissent encore des pressions liées aux politiques monétaires des pays développés et aux risques géopolitiques. Les banques centrales adoptent des stratégies d’assouplissement monétaire, ce qui pourrait soutenir les marchés obligataires et la consommation. Dans cet environnement, les investisseurs doivent privilégier une approche diversifiée, en tenant compte des opportunités sur les actions américaines, des actifs réels et d’une exposition prudente aux obligations.